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AJC Digital parrainera le programme de formation pour une durée de 6 mois. Le candidat doit être disponible au moins 2 heures par jour ouvrable. Le candidat ne percevra pas de salaire et n’aura aucune obligation envers AJC digital. C’est l’occasion d’apprendre la programmation dans un environnement favorable. Une allocation de transport peut être envisagée pour soutenir le candidat avec le coût de base.
𝐂𝐫𝐢𝐭𝐞𝐫𝐢𝐚:
Prêt à apprendre
Anglophone
Compétences de base en codage
𝐇𝐨𝐰 𝐭𝐨 𝐚𝐩𝐩𝐥𝐲:
Envoyez un CV (si vous en avez un)
What are your motives (reason for applying)
Submission due by the 𝟐𝟖𝒕𝒉 𝒐𝒇 𝑭𝒆𝒃 𝟐𝟎𝟐𝟐.
Le candidat sélectionné pourrait avoir une opportunité de carrière de travailler chez AJC Digital après avoir terminé le programme. AJC Digital met à disposition un desk équipé d’un ordinateur dans le bureau d’AJC Digital.
Le programme de citoyenneté par investissement n’est pas seulement un catalyseur pour le développement du Vanuatu. C’est n’est rien de moins que l’expression du privilège de notre souveraineté.
Avec ses 4700 km2, le Vanuatu occupe un minuscule 131690ème de la surface de la Terre.
Avec ses 934 M$, il compte pour moins d’un 87552ème du PIB mondial (2019).
Sur toutes les échelles de mesure de la planète, notre pays est presque insignifiant.
Toutes, sauf une : la souveraineté nationale. Dans cette catégorie, nous brillons par notre présence avec un gros 195ème.
Ce n’est pas rien : nous sommes un membre à part entière du chorus des nations, avec toutes les prérogatives d’un État indépendant. Comme un Canada, comme une Australie, nous détenons un droit immuable à l’auto-détermination. Comme une France, comme un Japon, nous avons la liberté d’occuper notre territoire, d’établir notre gouvernement, de voter nos lois. Les seules restrictions que nous imposent d’autres pays sont celles que nous acceptons de notre plein gré, en théorie tout au moins, dans le cadre d’accords internationaux.
Notre pays doit encore surmonter de multiples défis sur le plan du développement. Nous devons notamment investir dans les infrastructures et l’éducation pour permettre à notre population de se hisser vers un avenir meilleur. Mais où trouver l’argent ?
Nos terres, nos eaux, notre sous-sol suffisent à nous alimenter mais certainement pas à nous enrichir. Il y a bien le tourisme, mais il est limité étant donné notre distance des principaux marchés – et il a disparu depuis le COVID. Internet pourrait nous affranchir de notre isolement et, qui sait, nous propulser un jour dans l’économie du savoir, mais il faudra pour cela une main d’œuvre éduquée et des investisseurs motivés.
Pour le moment, le Vanuatu continue de recevoir de l’aide internationale ; mais si nous voulons pleinement assumer notre indépendance, nous ne pouvons dépendre indéfiniment de la générosité des autres.
Alors comment générer une croissance durable de façon autonome ? Nous sommes peu gâtés du point de vue des ressources naturelles, de la localisation, du climat, de la sismicité, de tous les facteurs qui contribuent à la réussite des autres États. Par contre, nous avons exactement la même souveraineté.
Comme eux, nous jouissons du privilège de pouvoir recueillir des fonds d’autres pays en échange d’actes souverains. Nous exprimons ce privilège chaque fois que nous immatriculons un navire, domicilions une entreprise, octroyons une licence financière, ou accordons la citoyenneté. Les territoires qui appartiennent à d’autres pays, comme la Nouvelle-Calédonie ou la Polynésie française, les États ou provinces fédérés, comme la Victoria ou l’Ontario, n’ont pas cette liberté, aussi riches soient-ils.
Parmi les 195 membres de notre club sélect, nous sommes 77 à offrir un programme d’immigration par investissement. Parmi nous, 13 proposent la citoyenneté, les autres la résidence (qui mène souvent à la citoyenneté après quelques années).
Les programmes varient ; il y a un monde entre un visa EB-5 des États-Unis (montant minimal 1,8 million USD) qui vise à créer de l’emploi, et un passeport du Vanuatu (130 000 $). Mais tous ont en commun de trier leurs candidats sur le volet pour s’assurer qu’ils contribuent positivement à leur pays d’accueil.
Et contribution il y a. Sous les deux programmes actuels (VCP et DSP), entre 2017 et 2019, 5515 passeports du Vanuatu ont été émis contre 26,8 milliards de vatu. L’argent a servi à rembourser des emprunts, subventionner des industries essentielles, développer des infrastructures, secourir des sinistrés, offrir des bourses d’études, en plus de financer les Mini-jeux du Pacifique. En 2019, la somme représentait plus d’un tiers du budget de l’État !
Ajoutons à cela l’aspect 100 % vert du programme, et la citoyenneté par investissement s’impose comme un catalyseur essentiel à l’atteinte des objectifs du Plan de développement national durable pour 2030 (Le plan du peuple).
De leur côté, on ne peut pas dire que nos nouveaux compatriotes abusent de leur statut ; l’immense majorité n’a jamais mis les pieds au Vanuatu et ne compte probablement pas le faire. Ils n’ont même pas le droit de voter tant qu’ils conservent une autre citoyenneté. Ce qu’ils apprécient principalement, c’est notre régime juridique et financier, l’accès à 129 pays sans visa, et dans le cas des Chinois, la possibilité de se soustraire au contrôle de Pékin.
Bref, on pourrait croire que tout le monde a de quoi être satisfait. Pourtant, c’est loin d’être le cas.
Dans un rapport très détaillé commandé récemment par le Bureau de la Citoyenneté du Vanuatu, on apprend que le programme souffre d’un sérieux problème de perception. Et la principale critique qui lui est faite n’est pas d’ordre économique mais moral :
« Le souvenir de la lutte pour l’indépendance est encore frais dans l’esprit de beaucoup de gens, et de leur point de vue, donner la citoyenneté à des étrangers revient à trahir notre identité nationale, même si c’est en échange de retombées sociales importantes. »
Cette posture a été exprimée par plusieurs de nos politiciens, particulièrement lorsqu’il se trouvaient dans l’opposition. Beaucoup aimeraient sans doute voir le programme disparaître aussitôt qu’on trouve d’autres sources de revenu pour le remplacer.
Certes, des améliorations sont nécessaires, notamment pour renforcer le contrôle des candidats selon les exigences de l’Union européenne. Le Vanuatu doit continuer d’honorer ses engagements contre le blanchiment d’argent et le financement du terrorisme, qui ont été reconnus et applaudis par le Groupe d’action financière (GAFI) voilà déjà trois ans (même si la Commission Européenne tarde à les reconnaître de son côté). Il n’est pas dans notre intérêt que notre passeport devienne un handicap aux douanes de l’espace Schengen, car il perdrait de la valeur. Le rapport du Bureau de la citoyenneté donnait d’ailleurs à ce titre d’excellentes recommandations d’ajustements administratifs et juridiques, dont plusieurs ont été rapidement appliquées peu après sa publication.
Mais il est faux d’affirmer comme le font les opposants au programme, toujours selon le rapport, qu’il est une « menace très réelle à la souveraineté du pays ». Il est au contraire une célébration de notre souveraineté, directement issue de notre indépendance voilà 40 ans. Si nous étions encore un condominium, nos politiques de citoyenneté et d’immigration seraient probablement inspirées par celles de la France et du Royaume-Uni, où la situation est différente. Mais nous sommes souverains et avons décidé de nous donner les moyens du développement durable avec les ressources à notre disposition.
Faisons donc un autre calcul. Imaginons que le programme se poursuive à son rythme actuel, donc une moyenne de 1 800 passeports par an (VSP et DSP confondus). Cela représente 0,6 % de la population, soit moins que sa croissance démographique actuelle de 1,73 %. Ils ne risquent pas de déstabiliser notre identité nationale, d’autant plus qu’ils ne viennent pas pour la plupart (donc ne peuplent pas nos terres), ne votent pas (donc n’influencent pas nos choix de société) et ont été sélectionnés pour leur probité (donc risquent peu de commettre un crime en notre nom). En revanche, les quelques 20 milliards de vatu qu’ils injecteront chaque année dans l’économie permettront d’améliorer de manière très significative nos systèmes d’éducation et de santé, pour collectivement prendre mieux soin de nos enfants et de nos aînés.
Pendant ce temps, une autre source de revenu public, l’aide internationale, donne potentiellement à d’autres un levier d’influence politique, ce qui compromet véritablement notre souveraineté. La citoyenneté par investissement vient justement amoindrir cette menace en allant chercher des fonds étrangers avec nos propres moyens, parce que c’est notre prérogative d’État indépendant.
AJC souhaite informer ses clients que le Département du travail et de l’emploi a émis un avis de Déclaration Annuelle à tous les employeurs.
L’avis a été publié le 25 novembre,
Il annonce l’obligation légale pour les employeurs de soumettre une déclaration annuelle dans un délai d’un mois.
La déclaration doit être déposée avant le 28 décembre 2020.
La déclaration annuelle doit inclure les informations suivantes (ci-dessous copié de l’avis et de la législation).
de la date d’ouverture de l’entreprise ;
de l’activité commerciale de l’entreprise ;
du nombre de travailleurs employés dans les diverses catégories professionnelles de l’entreprise, à la date spécifiée.
AJC peut vous aider à préparer la déclaration annuelle.
Veuillez remplir le questionnaire ci-dessous pour vous aider à préparer cette déclaration annuelle, veuillez remplir le questionnaire.
Il est également possible de télécharger le document à remplir ici.
N’hésitez pas à nous contacter si vous avez des questions.
Département des taxes et douanes
AJC souhaite également rappeler aux clients enregistrés à la TVA que vous devez vous conformer à la nouvelle obligation de divulguer votre numéro TIN sur vos factures et reçus clients. La mention du numéro CT ne devrait plus apparaître sur vos factures.
Les entreprises ont jusqu’au 31 décembre 2020 pour se conformer.
Mercredi 18 novembre 2020 a marqué la reconstitution officielle de Vanuatu Association of Accountants avec un nouveau comité.
M. Marokon Alilee, actuel président du VAA, était également l’un des membres fondateur de l’Association lors de sa création en décembre 2003.
Les objectifs fondamentaux de l’Association restent les mêmes, à savoir promouvoir les intérêts des comptables à Vanuatu et les services fournis par les comptables au sein de la communauté locale. Cet objectif sera atteint grâce à l’éducation, la formation, le soutien technique et le plaidoyer. Les membres travailleront pour représenter les points de vue et les préoccupations de la profession auprès des gouvernements, des organismes de réglementation, des industries, des universités et du grand public.
La semaine dernière a marqué le lancement de la nouvelle Association: Financial Markets Association (FMA Vanuatu) à Port Vila.
Un comité exécutif de six agents du programme de licence des courtiers financiers (FDL) de Vanuatu, dont AJC, a lancé le FMA Vanuatu en tant qu’organisme d’autorégulation pour les titulaires de licence qui fournit aux commerçants de détail des plates-formes d’achat et de vente d’instruments financiers et de titres en ligne. Le comité a créé l’association en tant qu’organisation à but non lucratif.
Les objectifs de FMA Vanuatu sont « de développer, mettre en œuvre et faire respecter les normes professionnelles les plus élevées afin de protéger notre industrie de la criminalité financière, gagner la confiance de nos partenaires et clients et contribuer à la prospérité de Vanuatu à long terme ».
En plus d’aider ses membres à se conformer aux normes de commerce en ligne les plus élevées, l’association mettra en place un comité disciplinaire composé de pairs et de régulateurs gouvernementaux pour arbitrer les plaintes et mettre en œuvre des sanctions conformément au programme FDL, qui a été créé en 2016 et est supervisé par la Vanuatu Financial Services Commission (VFSC).
Retrouvez plus de détails sur l’Association des marchés financiers de Vanuatu sur le nouveau site web: fma.vu
The founding members of FMA Vanuatu on the rooftop of our new office in Port Vila. Left to right: Roy McDonald (Company Services Limited – digitally added using photo editing software), Sharon Vuti (Moores Rowland), Margaux Carel (AJC), Martin St-Hilaire (AJC), Mathilde Auger (Law Partners), Preyanka Philip (iCount), Daniel Agius (iCount), Mark Stafford (Barrett & Partners), Jonathan Law (Law Partners).
Recueillir les recettes publiques de Vanuatu grâce à un taux de valeur foncière donnerait du pouvoir aux plus productifs d’entre nous et protégerait les plus vulnérables, en collectant des fonds plus équitablement.
Les citoyens des pays membres de l’OCDE ont l’habitude d’assimiler les recettes publiques à l’imposition de leurs revenus et de leurs achats, entre autres. Mais que se passerait-il si ce type de taxation, bien qu’accepté comme un mal nécessaire en Occident, était en fait un obstacle au bien-être d’une communauté? Et si nous pouvions faire mieux et augmenter plus équitablement les revenus de tous les segments de la société? Ce n’est pas une notion exagérée. Il y a longtemps, les économistes sont arrivés à la conclusion que le seul moyen juste et efficace de remplir les deniers publics n’est pas de taxer le travail ou le capital, mais de taxer la terre.
L’explication demande quelques pas en arrière.
Il y a plus de deux siècles, lorsque les fondements de l’économie moderne prenaient forme, des personnes comme les physiocrates français et les britanniques John Locke et Adam Smith postulaient que la valeur totale de tout ce qui était produit dans un pays provenait des rendements de trois facteurs de production:
Terre (toutes les ressources naturelles, y compris les terres agricoles ou minérales, les droits de pêche ou d’eau, le spectre électromagnétique, etc.)
Travail (mental ou physique, qualifié ou non)
Capital (les outils de production physiques artificiels, y compris les équipements, les bâtiments, tout produit utilisé dans la production ultérieure d’autres choses)
Tous les gouvernements ont besoin de revenus pour fournir les services publics essentiels et les infrastructures nécessaires à une communauté civilisée. Ce que la plupart des pays développés font aujourd’hui, c’est percevoir, par le biais de la fiscalité, les rendements des trois facteurs de production: la rente de la terre, les salaires du travail et les bénéfices du capital.
Ce qui peut surprendre, sauf pour certains économistes, c’est que toutes les formes d’imposition – que ce soit sur le revenu, la valeur ajoutée, le chiffre d’affaires, les licences – ont un point commun: elles réduisent l’offre de main-d’œuvre et de capital. Cela mérite d’être examiné plus en détail.
Premièrement, le travail. Si l’on prive les travailleurs d’une partie de ce qu’ils gagnent en travaillant, ils peuvent décider de travailler moins ou essayer de répercuter la taxe sur leurs employeurs ou clients en exigeant des salaires ou des frais plus élevés. Cela peut réduire les gains effectifs de l’employeur ou des clients qui ne peuvent plus facilement se permettre le rendement du travailleur. La taxation des salaires du travail diminue l’offre de travail utile et diminue donc nécessairement la production nationale de biens et de services.
Quant au capital, en supposant que les gens investissent dans la mesure où il est rentable de le faire, une fois qu’une taxe sur les bénéfices du capital est introduite, les investissements avec des marges de rentabilité plus faibles seront abandonnés. Les travailleurs employés dans les entreprises touchées perdront leur emploi, faisant baisser les salaires, tandis que le manque de capitaux réduira la productivité des autres travailleurs. Toute diminution des bénéfices du capital par la fiscalité conduit à un retrait du capital physique, par abandon, non-réparation, usage passé obsolescence et non-remplacement.
Là où il y a de la taxe
Partout dans le monde, les gens sont habitués à ces formes d’imposition et elles sont perçues depuis longtemps par de nombreux gouvernements. Mais leur utilisation généralisée ne signifie pas nécessairement qu’elles constituent une solution optimale pour augmenter les recettes publiques. En raison des distorsions qu’ils introduisent dans l’activité économique, ils infligent inévitablement des dommages à l’économie sous forme de perte sèche ou de charge excessive.
Voici comment cela se passe: toutes les taxes finissent par être transférées par les entreprises et les consommateurs. Après l’introduction d’une taxe, tout un processus de réajustement a lieu dans l’activité économique afin que les facteurs de production maximisent les taux de rendement après impôt, qui seront inférieurs au taux de rendement exonéré d’impôt du travail et du capital antérieur.
Une situation perdante
Par exemple, un médecin confronté à une charge fiscale accrue peut décider d’augmenter ses honoraires et de travailler moins d’heures; sa contribution réelle à l’économie est réduite mais ses revenus diminuent moins car ses honoraires sont plus élevés. Le gouvernement peut percevoir des impôts sur une partie de ses anciens revenus mais la communauté subit toujours une perte de sa contribution. Il s’agit d’une pure perte sèche – une perte de revenus pour le gouvernement et une perte de valeur pour la communauté.
Ce médecin peut également se livrer à une évasion fiscale. Au lieu de modifier sa production économique réelle, il cherchera des échappatoires juridiques pour réduire sa charge fiscale tout en continuant à travailler autant qu’avant. L’évasion fiscale légale peut paradoxalement aider l’économie en limitant la perte sèche qui serait autrement causée par la fiscalité par le retrait de la main-d’œuvre ou du capital de la production active.
D’autres optent pour l’évasion fiscale illégale, qui transforme des individus par ailleurs respectueux de la loi en criminels et conduit à une attitude de mépris de la loi en général et corrompt la moralité publique.
La terre ne bouge pas
Si taxer les salaires du travail ou les bénéfices du capital se termine par un préjudice économique, qu’en est-il de taxer la rente de la terre?
Comme l’ont noté il y a longtemps les ancêtres de l’économie, le travail et le capital sont mis en production grâce aux actions volontaires des êtres humains. Seule la terre existe et est disponible pour une utilisation dans la production indépendamment de notre volonté. S’il n’y a pas de fourniture fixe ou automatique de travailleurs volontaires ou d’investissement dans les machines, équipements et bâtiments d’usine, l’offre de terrains est en fait fixe. La terre est le seul facteur de production passif et immobile: elle reste, attendant d’être utilisée.
Les premiers économistes se sont donc rendu compte que les recettes publiques provenant de la rente foncière (nous appellerons cela un «taux de valeur foncière») étaient particulièrement efficaces et ne pouvaient pas être transférées par le propriétaire foncier par ses propres actions. En effet, le théorème selon lequel une taxe foncière ne peut être modifiée était le premier théorème jamais postulé en économie et reste une clé souvent oubliée pour élaborer une politique fiscale équitable.
“Land value rate” is different from property taxes, which are based on the value of the land as well as the buildings and other property located on it. Property taxes can have perverse effects, as can be seen in cities around the world where abandoned buildings are left to deteriorate by landlords in order to minimize their tax bills while they speculate on a future purchase offer. Valuable land is left unused, an eyesore to the community, when it could be recycled into some other industrial or residential use.
En revanche, un taux de valeur foncière est une partie de la valeur du terrain seul et ne tient pas compte de la valeur des bâtiments, des biens personnels ou d’autres améliorations à l’immobilier. La valeur des terres est déterminée par la demande, soutenue par des facteurs tels que les commodités et l’emplacement dans les villes, la fertilité dans les zones rurales, la qualité des gisements de minerais dans les champs miniers, etc.
Un taux de valeur foncière est fondamentalement une demande de l’Etat pour un loyer à payer par les propriétaires terriens qui représente la valeur qui leur est donnée. De cette manière, ce n’est pas vraiment une taxe et n’a donc aucun des effets de distorsion des taxes sur le travail ou le capital.
On peut même dire que cela a un effet incitatif sur les propriétaires terriens à utiliser au mieux la terre. Qu’ils mènent des activités commerciales ou agricoles, utilisent la terre pour leur maison ou laissent quelqu’un d’autre l’utiliser contre rémunération, ils doivent payer le même taux de valeur foncière à l’État. S’ils ne font rien ou ne retirent pas la terre de la production, ils se retrouvent toujours avec l’obligation de payer le taux – ou de laisser quelqu’un plus motivé utiliser ou détenir la terre.
Sauf activité tectonique, la terre reste en place. Contrairement au travail et au capital, la terre est unique en ce qu’elle ne peut être cachée, enlevée ou laissée à la rouille. Le propriétaire foncier ne peut effectivement rien faire pour éviter un taux de valeur foncière, ce qui le rend particulièrement immunisé contre le déplacement, l’évitement ou la fraude.
Si le propriétaire ne paie pas le taux, le terrain peut être mis en vente pour acquitter le taux de valeur du terrain en suspens (l’acheteur paiera la dette pour faire transférer la propriété). S’il prétend ne pas détenir la terre, l’État peut simplement la déclarer vacante et la céder à un autre propriétaire disposé à la payer et à payer la valeur foncière. Dans tous les cas, le taux de valeur foncière est collecté intégralement.
La taxe n’est pas tout
Lorsqu’un gouvernement impose un taux de valeur foncière, ce qu’il fait en réalité, c’est réaffirmer ses droits souverains sur son territoire. Il exige que les commerçants, fabricants, mineurs, propriétaires de plantations et autres qui utilisent ses terres ou y vivent, et se voient accorder par l’État le droit de les utiliser à l’exclusion de leurs concitoyens, doivent payer pour ce privilège.
De nombreuses sociétés ont fonctionné sur ce modèle, le souverain ou l’État s’appuyant sur ces recettes non fiscales pour faire face aux dépenses publiques. Dans l’Angleterre féodale, les seigneurs se voyaient attribuer des terres en échange du paiement des frais de fonctionnement du royaume; l’expression «immobilier» semble à l’origine provenir de «domaine royal».
Plus récemment, les économies en développement rapide du Moyen-Orient ont perçu des rentes foncières sous forme de redevances pétrolières et ont pu réduire au minimum le recours aux impôts sur le revenu. Si les redevances sur une seule ressource naturelle (le pétrole seul) peuvent financer un gouvernement, pourquoi les gouvernements ne peuvent-ils pas être financés à partir de toutes les rentes foncières de leur territoire souverain?
Une société «sans revenu public» est impossible. Les gouvernements ont besoin d’argent pour fournir les services et infrastructures publics essentiels dont une communauté civilisée a besoin. Là où ces services publics essentiels n’existent pas et qu’il n’y a, par exemple, pas de loi et d’ordre public, les salaires et le niveau de vie s’effondrent avec la valeur des terres. En revanche, une société «sans recettes fiscales» est non seulement possible mais hautement souhaitable.
Un État peut financer ses services publics essentiels et ses infrastructures à partir des loyers des terres qui sont rendus plus productifs par ces dépenses essentielles, dans un cercle vertueux de valeur ajoutée. Un tel État a un grand avantage en termes de développement économique par rapport aux autres pays où le travail et le capital sont imposés. Une société «sans recettes fiscales» est réalisable parce que toutes les dépenses publiques utiles et les avantages qui en découlent se reflètent dans l’augmentation de la productivité de la terre, du travail et du capital et se reflètent donc en fin de compte dans les rentes foncières et la valeur des terres.
Avantages pour tous les Ni-Vanuatu
Un taux de valeur foncière profiterait à tous les membres de la communauté de Vanuatu, en fournissant à la fois une incitation à la production et un filet de sécurité sociale.
Au lieu d’être enfermée à jamais entre les mains de quelques individus et de leurs descendants, la richesse en ressources naturelles de la République serait détenue par ceux qui sont prêts à en faire bon usage. Ils seraient constamment poussés par l’obligation de payer une redevance équitable pour l’utilisation de la terre, en fonction de sa valeur, donc encouragés à l’utiliser, ou à le vendre à quelqu’un d’autre qui est prêt à le faire.
Cependant, le taux ne s’appliquerait qu’aux terres aliénées ou utilisées à des fins commerciales, telles que les terrains urbains ou les plantations commerciales, et épargnerait les terres communales et coutumières qui sont à la disposition de tous pour un usage commun. De nombreux Ni-Vanuatu pratiquent la pêche ou l’agriculture de subsistance, et le régime foncier communal garantit que chaque membre de la communauté peut toujours subvenir à ses besoins et ne pas devenir une charge pour l’État. Un système de revenus ne devrait pas forcer les gens à quitter leurs terres vers des bidonvilles urbains (voir Port Moresby pour un triste exemple). Seuls les utilisateurs exclusifs des terres qui sont aliénées loin de l’usage communal seraient invités à apporter une contribution au trésor commun en échange de leurs droits fonciers.
Non seulement la mise en œuvre d’un taux de valeur foncière est compatible avec la Constitution de la République de Vanuatu, mais elle répondrait à tous les «principes directeurs» énoncés dans la Revue des recettes 2017 et dans les termes de référence du Comité de gouvernance des recettes 2020:
Équité et impartialité
Certitude
Commodité de paiement
Économie de collecte
Simplicité
Neutralité
Croissance économique et efficacité
Transparence et visibilité
Écart fiscal minimum
Recettes publiques appropriées
Facile à mettre en œuvre
Un taux de valeur foncière est beaucoup plus facile à percevoir que les impôts. Le point de départ est de construire un registre de toutes les parcelles de terrain, puis de trouver et de mettre à jour régulièrement leurs valeurs individuelles, en ignorant toutes les structures ou autres améliorations humaines. Les ventes immobilières fournissent de bonnes valeurs de référence qui peuvent être utilisées pour extrapoler les évaluations au mètre carré. Il est également possible d’autoriser les propriétaires fonciers à évaluer eux-mêmes la valeur de leurs terres, mais à condition qu’ils puissent être rachetés par l’État à leurs propres évaluations déclarées avec compensation pour les améliorations éventuelles déterminées par un tribunal arbitral.
Une fois qu’un registre foncier national et un système d’évaluation ont été mis en place, chaque niveau de gouvernement et autorité de service public peut se voir attribuer son propre niveau de taux foncier pour son propre district et pour ses revenus nécessaires. Ainsi, une régie locale des routes ou de l’électricité dans une région peut fixer un taux pour couvrir le coût de tout prêt requis pour la construction d’une nouvelle route et amener les propriétaires fonciers à contribuer par le biais de la même agence de perception des recettes que le gouvernement national.
Chaque autorité provinciale ou locale peut avoir sa propre autonomie dans la collecte et la dépense de son propre argent mais, en le faisant sur une base commune à travers une autorité commune, afin que les gens ne soient pas soumis à de multiples rencontres avec les collecteurs d’impôts. Dans un pays comme le Vanuatu, il est hautement souhaitable d’économiser et de simplifier la réduction du nombre de fonctionnaires nécessaires au recouvrement des impôts. Il est de loin préférable pour un pays de collecter des recettes publiques d’une seule source avec compétence et efficacité que d’essayer d’importer une multitude d’impôts sur le revenu ou sur les entreprises oppressifs et mal administrés sur la base des exemples peu inspirants des pays dits développés.
Réaffirmer la souveraineté de Vanuatu
L’idée d’un taux d’imposition foncière au Vanuatu arrive à un moment propice. L’UE et l’OCDE exercent de plus en plus de pressions sur le Vanuatu pour qu’il applique des exigences réglementaires onéreuses et adopte des politiques fiscales inspirées des leurs. Leurs demandes poussent Vanuatu à s’infliger des pertes économiques dans l’espoir que l’activité commerciale sera repoussée de Vanuatu vers l’UE. On ne sait pas avec certitude, mais une chose est sûre: l’UE ne compensera pas Vanuatu pour les pertes.
Être indépendant signifie être autosuffisant financièrement et ne pas dépendre de subventions ou de subventions d’autres pays. Vanuatu peut atteindre une grande prospérité en ayant un système de revenus simple et robuste qui n’entrave pas mais propulse plutôt les affaires, un système qui peut s’autofinancer en payant les infrastructures et les services qui ajoutent ensuite de la valeur à ses terres.
L’aide des gouvernements étrangers s’accompagne souvent de conditions, déclarées ou implicites. Les économies avancées auront beaucoup moins de latitude pour essayer de dicter la politique de Vanuatu si le pays n’a plus besoin de leur générosité. Les problèmes politiques internes de l’OCDE ne devraient pas être les problèmes d’autres pays et les conseils économiques ne devraient pas être motivés par des considérations politiques.
Comme cela a été démontré depuis l’aube de l’économie, tout le monde au Vanuatu aura un accès plus égal aux opportunités et à l’utilisation des ressources naturelles si la nation perçoit uniquement les revenus de la terre. Pour un pays souverain depuis 40 ans, ce serait un pas encore plus décisif vers une plus grande force économique et une plus grande indépendance.
“As blockchain decentralizes financial activities, governments will continue striving to understand and regulate the technology. And those that do so effectively will have an opportunity to attract global investment and become frontrunners in a blockchain economy.”
Il y a à peine quelques années, le mot blockchain était plus susceptible d’évoquer des associations avec des technologies marginales que des affaires sérieuses. Il a d’abord été déployé par des crypto-monnaies comme le Bitcoin, dont la nature abstraite et la volatilité ont inspiré des opinions largement divergentes dans la communauté financière, du culte évangélique au rejet global. Les crypto-monnaies, cependant, ne sont qu’un actif numérique qui peut être échangé à l’aide de la blockchain. Et la technologie elle-même gagne en popularité dans les communautés d’affaires traditionnelles du monde entier – mais pas à Vanuatu. Il vaut peut-être mieux commencer par un peu d’arrière-plan.
La blockchain est là pour durer
L’enquête mondiale 2020 de Deloitte sur la blockchain révèle que la technologie a franchi un point de basculement et qu’elle est désormais «solidement ancrée dans la réflexion stratégique des organisations de tous les secteurs et applications. (…) Les dirigeants ne considèrent plus la technologie comme révolutionnaire et simplement prometteuse – ils la considèrent désormais comme partie intégrante de l’innovation organisationnelle. Cette année, la C-suite met de l’argent et des ressources derrière la blockchain en tant que solution stratégique de manière plus significative et tangible ».
Partager la vérité
La blockchain, également connue sous le nom de technologie de registre décentralisé (DLT), est un système de registre numérique dans lequel les entrées sont liées chronologiquement et collectivement gérées par un réseau d’ordinateurs. Tout participant au réseau disposant de l’autorisation appropriée peut consulter l’intégralité du grand livre sans recourir à un intermédiaire ou à une seule autorité; et les données ne peuvent pas être modifiées sans l’approbation des autres participants. En conséquence, chaque partie autorisée du réseau a accès à une seule vérité partagée, ce qui favorise la confiance dans les transactions sur plusieurs sites ou zones géographiques.
Là où il y a de la vérité, il y a de la confiance
L’élément clé derrière le large attrait de la blockchain est sa capacité à inspirer confiance dans la sécurité de tout commerce d’actifs numériques – et pas seulement pour les crypto-monnaies, mais pour tout ce qui est représenté sous forme numérique qui a une valeur intrinsèque ou acquise. Il peut s’agir de représentations numériques de la terre, des matières premières ou de la monnaie fiduciaire; dette ou capitaux propres symboliques; ou instruments financiers ou dérivés, avec des dizaines de possibilités supplémentaires à l’horizon. Le potentiel est énorme dans des domaines tels que les titres de propriété, les données des patients, la propriété intellectuelle et la traçabilité des produits.
Là où il y a confiance, le commerce suit inévitablement
Dans le monde financier, nous assistons déjà à une adoption significative de la blockchain. Par exemple, un groupe de grandes banques, dont Citi, Standard Chartered, HSBC, BNP Paribas et ING, utilisent la plate-forme DLT de Contour pour réduire le temps de traitement des lettres de crédit commerciales de 5 à 10 jours à moins de 24 heures.
Le messager financier mondial SWIFT parle de déployer des services basés sur DLT pour ses 11 000 membres et plus. SWIFT cite cinq avantages: la confiance dans un système diffusé, l’efficacité du partage des informations, une traçabilité complète des transactions, un rapprochement simplifié et une haute résilience. Cependant, il note également des opportunités d’amélioration dans les contrôles des données, la normalisation, la gestion des identités et la cybersécurité, entre autres.
D’autres grandes organisations partagent actuellement le même mélange d’enthousiasme et de réserves. Mais il n’ya aucune raison pour laquelle les problèmes ne peuvent être résolus par des améliorations technologiques et des solutions réglementaires. Et cela se produit déjà.
Construire un cadre réglementaire international
Dans un document d’orientation publié en 2019, le Groupe d’action financière (GAFI) a clarifié la manière dont ses règles concernant le blanchiment de capitaux et le financement du terrorisme (BC / FT) devraient s’appliquer aux «fournisseurs de services d’actifs virtuels». Ils comprenaient des recommandations pour la surveillance, l’octroi de licences, la diligence raisonnable des clients, la tenue de registres et la déclaration des transactions suspectes. «Alors que les activités d’actifs virtuels peuvent servir de mécanisme supplémentaire pour le transfert illégal de valeur ou de fonds, les pays ne devraient pas nécessairement les classer comme des risques intrinsèquement élevés de BC / FT», lit-on dans le document d’orientation.
En tant que principal organisme de normalisation dans la lutte contre la criminalité financière, non seulement le GAFI n’a jamais plaidé pour l’interdiction de toute technologie DLT, mais il a publié des orientations claires sur ce que les juridictions nationales pourraient faire pour faire face aux risques potentiels.
Au Vanuatu, beaucoup de prudence mais peu de progrès
Comme tout cela le suggère, nous sommes à un point de basculement et c’est clairement une question de temps avant que la blockchain ne gagne en popularité dans le monde entier. En effet, les juridictions qui résistent à la tendance peuvent risquer leur viabilité future en tant que centres financiers.
Le Vanuatu n’a pas évolué sur cette question depuis un certain temps. À l’automne 2017, la Banque de réserve du Vanuatu (RBV) a «fortement déconseillé» l’utilisation des crypto-monnaies et les a jugées «illégales» au Vanuatu en vertu de la loi RBV. L’unité de renseignement financier de Vanuatu (VFIU) a fait écho à cette déclaration, ajoutant qu’un cadre réglementaire devait être mis en place avant que le pays n’adopte les transactions en monnaie numérique. Sur l’avis du Conseil des ministres, le ministre des Finances a chargé la Commission des services financiers du Vanuatu (VFSC) de suspendre l’octroi de licences de courtier financier pour les transactions de blockchain et de crypto-monnaie et a nommé un groupe de travail composé de représentants de la RBC, du VFSC et d’autres spécialistes sur le terrain pour travailler sur un «cadre juridique approprié».
Près de deux ans plus tard, nous avons constaté des progrès négligeables sur ce front.
D’autres prennent les devants
Dans l’intervalle, d’autres juridictions ont tracé un nouveau territoire dans des cadres réglementaires innovants qui visent à assurer une surveillance et un contrôle appropriés du commerce des actifs numériques. Au cours des trois dernières années seulement:
2017
Gibraltar introduit le cadre réglementaire de la technologie du grand livre distribué, plaçant les crypto-monnaies sous la supervision de la Commission des services financiers de Gibraltar. Gibraltar se présente désormais comme le premier régulateur à le faire.
L’Australie reconnaît les crypto-monnaies comme un type de propriété et place les échanges d’actifs numériques sous la surveillance de l’Australian Transaction Reports and Analysis Center (AUSTRAC), un organisme gouvernemental chargé de surveiller leur conformité avec les réglementations anti-BC / FT du pays.
2018
La Commission européenne inclut les fournisseurs d’actifs virtuels dans sa cinquième directive contre le blanchiment d’argent et le financement du terrorisme, ce qui en fait des «entités obligées» en vertu de la réglementation anti-BC / FT. Tous les pays de l’Espace économique européen relèvent de cette directive, qui permet à ces types d’entreprises de fonctionner tout en gérant correctement les risques.
La Thaïlande adopte le décret sur les actifs numériques de 2018, établissant les exigences nécessaires pour qu’une entreprise propose ou fournisse des opérations pour des actifs numériques. Le décret couvre les crypto-monnaies ainsi que les jetons numériques et est supervisé par la Securities and Exchange Commission. Trois types de licences sont disponibles pour le Digital Asset Exchange, le Digital Asset Brokers et le Digital Asset Dealers.
Malte se déclare «Blockchain Island» en ouvrant des applications internationales pour les licences de fournisseur de services d’actifs financiers virtuels. Une surveillance gouvernementale stricte de l’emplacement et de la traçabilité des parties impliquées permet de réduire le risque de fraude. Malte a modelé cette approche sur son expérience des jeux d’argent en ligne, où le gouvernement a dû resserrer la réglementation après les premiers faux pas.
2019
Singapour adopte la loi sur les services de paiement, élargissant le champ d’application de la réglementation de l’Autorité monétaire pour inclure l’offre ou l’émission de jetons numériques relevant de la définition de «titres».
La Securities and Futures Commission de Hong Konginforme les opérateurs que les jetons numériques sont considérés comme des valeurs mobilières et que toute personne qui les commercialise et les distribue aux investisseurs de Hong Kong doit être agréée ou enregistrée pour une activité réglementée de type 1 (négociation de titres) en vertu de l’ordonnance sur les valeurs mobilières et les contrats à terme. (SFO).
2020
Vanuatu n’a pas encore signalé de progrès.
Il est temps d’agir
Comme indiqué ci-dessus, l’élan prend de l’ampleur et le Vanuatu ne peut pas se permettre de rester à l’écart. De plus, le commerce en ligne est l’un des rares secteurs où le Vanuatu peut encore développer son économie de services, ses entrées de devises et son PIB global, d’autant plus que Covid-19 a stoppé notre secteur du tourisme dans un avenir prévisible.
Nous savons tous que pour chaque nouvelle entreprise qui s’installe au Vanuatu, d’innombrables emplois sont créés et maintenus par la demande de services professionnels tels que comptables, avocats, informatique et immobilier. Tout cela stimule davantage la circulation de l’argent.
Mais pourquoi chercher à l’étranger des exemples des avantages potentiels du DLT? L’année dernière, le programme pilote d’Oxfam a utilisé la crypto-monnaie pour les secours en cas de catastrophe dans deux villages d’Efate. Donc, encore une fois, DLT ou blockchain est bien plus que des crypto-monnaies. Elle peut rendre les processus plus efficaces et plus sûrs dans de nombreux domaines de la société, des soins de santé à l’environnement, des transports à l’éducation.
Comment répondre aux problèmes de réglementation anti-BC / FT
Il y a certainement beaucoup de battage médiatique autour de la blockchain, et une grande partie devrait certainement être prise avec une pincée de sel. Mais comme le suggère l’enquête Blockchain 2020 de Deloitte (voir ci-dessus), l’intérêt croissant des entreprises du monde entier pour le DLT est réel. De plus, cela pourrait se traduire par des parts de marché pour Vanuatu. La tendance dans les juridictions du monde entier indique clairement que la réglementation de la blockchain, y compris le commerce des crypto-monnaies, est dans notre intérêt économique national.
Certains pays, comme Malte, ont publié des réglementations de pointe alambiquées qui n’ont notamment pas réussi à attirer beaucoup d’investissements. Mais la plupart ont simplement ajusté leurs systèmes juridiques actuels, en particulier leurs réglementations anti-BC / FT, pour clarifier le statut des services de blockchain, en mettant l’accent sur l’enregistrement et la surveillance des fournisseurs de services d’actifs numériques.
La législation de Vanuatu peut être amendée pour garantir que ces entreprises mènent des activités conformément à nos objectifs anti-BC / FT et soumises au même contrôle que toutes les autres «entités déclarantes» en vertu de la législation. Et cela pourrait même être fait avec les conseils du GAFI et de l’UE pour assurer un alignement plus fort.
Se mouiller les pieds
Il existe des moyens peu risqués et rentables pour le Vanuatu de faire des percées dans le DLT, comme la restriction du commerce d’actifs numériques aux plates-formes FDL. Cela atténuerait les risques tout en fournissant un bac à sable pour que l’industrie fintech de Vanuatu se développe et innove, donnant à nos autorités le temps d’adapter les réglementations actuelles à la prochaine «économie symbolique».
Quelle que soit la voie que nous choisissons, il est juste de dire que le maintien d’un moratoire sur les crypto-monnaies et les actifs similaires n’est pas durable – pas lorsque ces technologies se généralisent dans le monde entier. Il est temps pour le Vanuatu de considérer la blockchain sous un angle nouveau. Il est peut-être même temps non seulement de se mouiller les pieds, mais de franchir le pas. Notre santé financière future pourrait être en jeu.
Le projet Unblocked Cash d’Oxfam n’est que le début. Développons le Vatu au niveau numérique.
L’argent numérique basé sur la blockchain existe depuis environ une décennie mais, en raison de la volatilité absolue des crypto-monnaies comme le Bitcoin, il est encore souvent considéré comme un passe-temps obscur de geek, ou au mieux une forme de jeu en ligne.
Mais toutes les devises blockchain ne sont pas créées de la même manière. Les «Stablecoins», par exemple, ont été créées spécifiquement pour résoudre les problèmes de volatilité et suscitent de l’intérêt dans le monde entier pour leurs avantages potentiels en remplaçant ou en complétant l’argent physique. D’autres formes de jetons de blockchain sortent des salles de conférence des start-ups technologiques et démontrent leur potentiel réel pour une utilisation grand public, sans les risques associés aux crypto-monnaies.
Inutile de regarder au-delà de nos propres côtes pour en trouver la preuve. À partir d’octobre de cette année,, les résidents de Sanma touchés par le cyclone Harold peuvent utiliser des jetons numériques pour acheter des biens de secours via le projet Unblocked Cash d’Oxfam, un partenariat avec le Vanuatu Business Resilience Council, la fintech australienne Sempo et un consortium de 12 ONG locales et internationales et privées partenaires du secteur.
Au lieu de dons en espèces, qui dans le passé se sont avérés coûteux et encombrants, les bénéficiaires de l’aide reçoivent une carte NFC remplie de jetons numériques. Les commerçants locaux reçoivent un téléphone mobile avec une application pour traiter les paiements. Tous les jetons chargés dans la blockchain par Oxfam sont garantis par le Vatus réel déposé à la Banque de réserve de Vanuatu. Toutes les transactions sont tracées dans un grand livre numérique, ce qui facilite le remboursement rapide des fournisseurs sans avoir besoin de rapprochement. Chaque semaine, ils reçoivent des Vatus réels tandis que les jetons numériques correspondants sont détruits. De cette manière, le solde des jetons numériques reste le même que celui du compte garanti, ce qui maintient la blockchain en synchronisation avec le monde réel.
Le projet Unblocked Cash, qui a été piloté l’année dernière dans les communautés de Pango et Melee Mat à Efate, a clairement accéléré la livraison des secours tout en réduisant les coûts et en garantissant une transparence totale sur les transactions. Le succès a été tel qu’il a reçu 1 million d’euros du prix Horizon 2020 de la Commission européenne et Oxfam envisage maintenant de le reproduire dans le Pacifique et au-delà.
Le numérique change tout
Il s’agit en fait du deuxième exemple significatif d’utilisation efficace de la monnaie numérique au Vanuatu. Le premier était le système de paiement mobile M-VATU de Vodafone. Ces déploiements peuvent avoir ciblé deux groupes d’utilisateurs spécifiques (familles dans le besoin, abonnés Vodafone) pour un usage limité, mais il ne faut pas beaucoup d’imagination pour voir les avantages possibles d’apporter la technologie à tous les individus et entreprises du Vanuatu pour un usage quotidien.
La monnaie numérique est une solution très pratique à un vrai problème Ni-Vanuatu. Notre pays souffre d’un réseau de paiement intérieur très fragmenté qui est extrêmement coûteux et inefficace et pèse sur notre croissance économique. Avoir des Vatus sous forme électronique faciliterait les transactions quotidiennes pour tous, où qu’ils se trouvent.
Avec un Vatu numérique (un D-VUV? Datu?), pas besoin de comptes bancaires: l’argent vivrait dans la blockchain et changerait de mains via une simple application pour téléphone intelligent. Les personnes qui maîtrisent moins la technologie ou qui n’ont pas de connexion Internet peuvent utiliser des commandes SMS sur leur téléphone à bouton-poussoir ou recharger le même type de cartes NFC utilisées dans le projet Unblocked Cash. Le D-VUV serait facile à utiliser, plus sûr que de transporter de l’argent physique et plus économique pour les acheteurs et les vendeurs que les solutions électroniques existantes telles que les systèmes de point de vente ou les virements électroniques.
Sur le plan socio-économique, cela élargirait l’inclusion financière aux confins de nos 83 îles, y compris un meilleur accès aux prêts, ce qui valoriserait les consommateurs et les petites entreprises et contribuerait à la croissance du PIB. Il garantirait la résilience économique face aux catastrophes naturelles et aux crises de santé publique. Cela aiderait le gouvernement à mieux surveiller la perception des recettes et les dépenses publiques, ainsi que la conformité de tous en matière de LBC / FT. Cela faciliterait le commerce électronique et l’innovation numérique et propulserait notre pays sur les premières lignes de l’ère numérique.
Premiers pas
De nombreux autres pays sont parvenus à des réalisations similaires et explorent actuellement des options pour étendre leur monnaie fiduciaire au royaume virtuel.
Dans une enquête menée l’hiver dernier auprès de 66 banques centrales des économies avancées et émergentes, la Banque des règlements internationaux (BRI) a constaté que 80% des personnes interrogées examinaient actuellement les possibilités d’une monnaie numérique de la banque centrale (CBDC) basée sur la blockchain, pour soit une utilisation en gros ou grand public. Quelques 40% des banques centrales sont passées de la recherche conceptuelle à l’expérimentation, et 10% ont développé des projets pilotes.
Certains montrent la voie. Le «Project Sand Dollar» des Bahamas est un projet pilote pour une CBDC à usage général où le titulaire aurait une créance directe sur la banque centrale, équivalente juridiquement à un compte. L’un des principaux avantages serait de promouvoir l’inclusion financière dans les 700 îles de la nation des Caraïbes, que les institutions traditionnelles ne peuvent pas assurer un service adéquat.
La Banque centrale des Caraïbes orientales dirige également un projet pilote pour une CBDC basée sur des jetons dans son union monétaire comprenant les économies insulaires d’Antigua-et-Barbuda, de la Dominique, de la Grenade, de Saint-Kitts-et-Nevis, de Sainte-Lucie, de Saint-Vincent-et-les-Grenadines, d’Anguilla et Montserrat. Les motivations du projet pilote comprennent l’efficacité des paiements, l’inclusion financière et la promotion de l’innovation et de la croissance commerciale inclusive.
La Riksbank suédoise mène également un projet pilote similaire de «e-krona», évoquant une forte baisse de l’utilisation des espèces ces dernières années. La Riksbank participe également à un groupe de recherche avec la BRI, la Banque du Canada, la Banque d’Angleterre, la Banque du Japon, la Banque centrale européenne et la Banque nationale suisse pour partager les expériences des membres et évaluer les cas potentiels de CBDC dans leurs juridictions.
Pendant ce temps, en Chine, le gouvernement a annoncé en 2019 qu’il lancerait une monnaie numérique de la Banque populaire de Chine, en commençant par un projet pilote à la fin de 2020. Les 1,4 milliard d’habitants du pays en feraient la première CBDC du monde.
Les banques centrales ont un rôle à jouer
Pour le moment, aucune CBDC n’a encore été mise en œuvre à l’échelle nationale, et les normes et les meilleures pratiques pour un tel déploiement doivent encore être définies. Mais ces initiatives conduiront à terme à des alternatives publiques aux nombreuses monnaies stables privées actuellement existantes ou en développement, comme le projet Libra de Facebook.
Un discours prononcé en mai par Yves Mersch, membre du conseil exécutif de la Banque centrale européenne, a clairement articulé la nécessité pour les banques centrales de se lancer dans le jeu de l’argent blockchain. «L’une des implications de l’innovation technologique financière pourrait être une économie de plus en plus sans numéraire dans laquelle les gens pourraient ne plus être en mesure de détenir de l’argent de banque centrale sans risque», a déclaré Mersch. «Un accès fiable à l’argent dépendrait alors de la stabilité et de l’efficacité des infrastructures de vente au détail privées. Et la confiance en l’argent lui-même reposerait sur la confiance dans les intermédiaires qui émettent de l’argent privé. C’est l’une des raisons pour lesquelles les banques centrales se tiennent au courant des évolutions technologiques financières. »
Les CBDC peuvent non seulement aider les banques centrales à maintenir leur monnaie fiduciaire pertinente et compétitive dans un monde numérisé, mais elles sont mieux adaptées à la surveillance réglementaire et à la protection des consommateurs que les pièces émises à titre privé.
Comme indiqué dans un récent rapport de la Banque centrale européenne (qui a cité le project Libra de Facebook comme exemple), «pour récolter leurs avantages potentiels sans nuire à la stabilité financière, nous devons nous assurer que les accords de stablecoins ne fonctionnent pas dans un vide réglementaire.» Cette position est reprise dans une analyse du FMI: «les grandes entreprises technologiques dotées d’énormes bases d’utilisateurs mondiales offrent un réseau prêt à l’emploi sur lequel de nouveaux services de paiement peuvent rapidement se répandre. Les risques sont toutefois nombreux – les décideurs doivent donc créer un environnement qui maximise les avantages et minimise les risques. »
La stabilité rencontre l’initiative
Le défi est bien entendu pour les banques centrales de développer le savoir-faire nécessaire. Ces vénérables institutions ne sont généralement pas équipées pour gérer la sélection des technologies, le développement d’applications, la gestion de la marque, sans parler de l’interaction avec les clients.
Une solution proposée par le FMI est une «CBDC synthétique» ou «sCBDC» où les fournisseurs privés sont ceux qui émettent des jetons blockchain à condition que ceux-ci soient entièrement adossés aux réserves de la banque centrale. La Banque populaire de Chine, par exemple, demande aux fournisseurs géants d’argent numérique AliPay et WeChat Pay de le faire précisément. Bien entendu, les émetteurs privés doivent satisfaire à un certain nombre d’exigences liées à la LBC / FT et à la protection des données, entre autres. Essentiellement, la sCBDC est un partenariat public-privé dans lequel les banques centrales se concentrent sur leur fonction principale – assurer la confiance et l’efficacité – tandis que les fournisseurs privés sont placés sous une surveillance appropriée où ils peuvent se concentrer sur ce qu’ils font le mieux: innover et interagir avec les clients.
Pourquoi pas ici ?
Suite à cette idée, la Banque de réserve de Vanuatu pourrait travailler avec le secteur privé pour construire un système de monnaie numérique tout en soutenant la stabilité et la confiance nécessaires pour qu’il fonctionne.
La mécanique est éprouvée. Selon une approche, 100 Vatus réels seraient détenus dans un compte en fiducie à la Banque de réserve pour chaque 100 D-VUV émis sous forme de jetons numériques. Chaque fois qu’un D-VUV est frappé sur la blockchain, un Vatu est déposé sur le compte en fiducie; et chaque fois qu’un D-VUV est «échangé» contre un Vatu réel, il est automatiquement supprimé de la blockchain. C’est exactement ce que fait le projet Unblocked Cash, ne reste plus qu’a l’étendre à l’échelle nationale et sous le contrôle de la Banque de réserve pour assurer la surveillance réglementaire.
Vanuatu devrait s’appuyer directement sur l’initiative d’Oxfam, en commençant par les inviter, ainsi que leurs partenaires, à se consulter sur le développement du D-VUV. Ils ont déjà démontré leur agilité dans le déploiement des paiements numériques dans les environnements les plus difficiles. Ils ont certainement la compétence pour les faire fonctionner dans la vie de tous les jours. Et si toute hésitation concernant l’adoption massive d’une monnaie numérique est compréhensible, un cyclone nous a déjà montré dans quelle direction le vent souffle.
COVID19 a accéléré la montée du télétravail; de nombreux employeurs garderont les accords de travail à distance après la pandémie.
De plus en plus de «travailleurs du savoir» dans les pays développés deviendront des nomades numériques, séjournant pendant de longues périodes dans des endroits plus chauds et plus attrayants à condition qu’ils disposent d’un bon Wi-Fi.
La plupart des pays n’ont pas de visa spécifique pour les télétravailleurs; ces personnes doivent recourir à des visas de tourisme renouvelables ou à des solutions de contournement sommaires.
Les Bermudes, la Barbade, l’Estonie et la Géorgie ont récemment introduit des visas pour les nomades numériques afin de compenser les revenus touristiques perdus par COVID19.
Vanuatu est une destination attrayante, sûre et sans COVID pour les télétravailleurs, mais n’offre pas de visas adéquats.
Les télétravailleurs seraient un centre de profit net pour Vanuatu, dépensant de l’argent gagné à l’étranger dans des entreprises locales, tout comme les touristes.
Leurs revenus supérieurs à la moyenne stimuleraient les investissements dans l’immobilier, les transports et d’autres biens et services à Vanuatu.
Leur présence dans notre communauté donnerait à nos jeunes l’occasion de découvrir des compétences et des technologies de pointe, les incitant à devenir également des travailleurs du savoir.
Ils pourraient encadrer d’autres travailleurs du savoir et les entrepreneurs Ni-Vanuatu. Les encadrer pour les accompagner dans leurs réussir.
Nous pouvons créer un environnement propice au télétravail en adoptant trois mesures simples:
Permettre aux travailleurs numériques d’accéder aux visas de résidence permanente.
Créer un nouveau visa d’affaires à court terme à l’arrivée au vanuatu.
Autoriser les entreprises internationales à obtenir des licences commerciales exclusivement pour l’exportation.
Une fois ces mesures mises en œuvre, nous pouvons commencer à valoriser le Vanuatu auprès des télétravailleurs, diversifier nos revenus et renforcer notre économie à long terme.
Au-delà de l’IDE: Saisir l’opportunité du télétravail
Le coronavirus a contraint d’innombrables personnes dans le monde à faire du télétravail à plein temps. Mais, pour de nombreux travailleurs du savoir qui n’ont pas besoin d’interagir en face à face, le télétravail est devenu un choix dont la popularité ne cesse de croître. Et un certain nombre d’entre eux ne restent pas chez eux – ils se déplacent à travers les fuseaux horaires, à la recherche de climats plus agréables dans des endroits à bas prix, s’installant pendant des mois partout où leur cœur le désire et le Wi-Fi le permet.
Ces travailleurs indépendants, également appelés nomades numériques, errent avec leurs ordinateurs portables de Bangkok à Lisbonne, d’Ubud à Mexico, de Taipei à Belgrade. Leurs critères d’installation sont nombreux: le coût de la vie, la sécurité, la météo, la cuisine locale, etc. Tant qu’ils peuvent se connecter en ligne, ils sont prêts à partir.
Il est difficile de dire combien il y a de nomades numériques. Aux États-Unis, l’étude annuelle sur the State of Independence by MBO Partners évalue le chiffre à 7,3 millions de personnes en 2019, en hausse d’année en année. Beaucoup appartiennent aux industries technologiques ou créatives, telles que les écrivains, les programmeurs, les concepteurs et les e-commerçants. Mais quiconque n’a pas besoin d’une présence physique pour faire son travail est candidat à ce style de vie. Et la tendance devrait se développer.
Un catalyseur du télétravail
Avec la Covid-19 obligeant les employeurs du monde entier à garder les employés à la maison autant que possible, le télétravail n’a jamais été aussi répandu. Bien que ce soit considéré comme temporaire, de nombreux employeurs de pays développés qui avaient mis du temps à adopter le télétravail ont finalement fait l’investissement dans la technologie et le changement des pratiques de gestion nécessaires pour faire fonctionner une «télé-main-d’œuvre». Et dans les industries où le télétravail est possible, «le télétravail continuera probablement longtemps après la pandémie», note un rapport de la Brookings Institution(il note également que les télétravailleurs ont tendance à être des salariés plus élevés).
Les grandes entreprisesdu secteur de la technologie et de la finance ont déjà annoncé que certains de leurs employés pouvaient continuer à travailler à domicile après la crise actuelle, à temps plein ou à temps partiel. Cela leur permettra de réduire les coûts des bureaux coûteux, tandis que les travailleurs pourront s’installer plus loin des centres urbains coûteux. Même dans le Japon notoirement traditionnel, Fujitsu va réduire de moitié son espace de bureauet permettre aux employés de travailler où qu’ils soient.
Une autre tendance qui alimente le télétravail est le resserrement des règles d’immigration dans certains pays où même les travailleurs qualifiés des pays en développement ont du mal à obtenir des visas. Dans le Royaume-Uni post-Brexit par exemple, l’établissement d’une frontière avec l’Europe et l’introduction d’un système d’immigration basé sur des points obligeront les entreprises à embaucher des étrangers à distance. Déjà 18% des 3 millions d’emplois du secteur technologique britannique sont occupés par des étrangers, sans qu’il soit nécessaire qu’ils mettent les pieds dans le pays.
Une bonne partie de ces nouvelles hordes de travailleurs à distance choisiront sûrement de se rendre ailleurs pendant leur travail. Si le télétravail est en hausse, le nomadisme numérique suivra certainement.
Travailler en zone grise
Dans de nombreux pays, le seul obstacle des nomades numériques – outre le Wi-Fi irrégulier – est leur statut d’immigration. Même ceux qui ont un passeport «puissant» tombent souvent entre les catégories. Ils ne sont pas des touristes de part leur séjour; ils ne sont pas des travailleurs car leur production n’est pas consommée localement; ils ne sont pas des investisseurs car ils n’injectent pas de capital.
Beaucoup ont recours à des solutions de contournement fragmentaires et à un tour de passe-passe bureaucratique pour continuer à travailler. Les nomades numériques en Thaïlande et au Vietnam, par exemple, sont officiellement des touristes et doivent faire un visa tous les quelques mois pour conserver leur statut. Certains demandent une classe pour se qualifier en tant qu’étudiants; certains paient une entreprise pour les approuver pour un visa de travail sans qu’il y ait jamais eu un emploi réel; d’autres créent une société dont la seule fonction est de leur obtenir l’accréditation en tant qu’investisseurs. Dans la plupart des cas, leur statut d’immigration n’est guère propice aux réalités du télétravail, s’inscrit dans une zone grise juridique à la merci des autorités, et leur coûte beaucoup de temps et d’argent.
Jusqu’à récemment, seule une poignée de régimes d’immigration ont explicitement accueilli les nomades numériques, tels que le visa indépendant allemand «Freiberufler» (jusqu’à 3 ans), le visa d’affaires à long terme de la République tchèque(1 an), le visa de travail indépendant en Espagne (1 an), ou Visa de résident temporaire du Mexique (jusqu’à 4 ans).
Avantage du premier arrivé
Pendant la pandémie, la forte montée du télétravail a coïncidé avec une autre tendance: la chute brutale du tourisme international. Et cet été, certains pays qui dépendent fortement de ces derniers ont pivoté pour mieux répondre aux besoins des premiers, se mettant dans une position avantageuse pour profiter de ces sources de devises pratiquement gratuites.
Depuis le 1er août, les Bermudes offrent le programme de certificat Work from Bermuda, adapté d’un programme de résidence existant. La demande en ligneimplique un coût initial de 263 $ par personne, avec des exigences comprenant une assurance maladie et une preuve d’emploi ou d’inscription à l’enseignement supérieur, garantissant qu’un nomade dispose d’une assurance maladie suffisante ou peut se permettre de payer un forfait de soins local. «Pas besoin d’être piégé dans votre appartement dans une ville densément peuplée avec les restrictions qui l’accompagnent et un risque élevé d’infection; venez passer l’année avec nous à travailler ou à coder sur l’eau », a déclaré le premier ministre des Bermudes E. David Burt aux nomades numériques dans un communiqué. Le pays a un régime strict de dépistage des coronavirus et a géré avec succès la pandémie jusqu’à présent.
Depuis le 12 juillet, le tampon de bienvenuede la Barbade accorde aux visiteurs une durée d’un an pour travailler à distance sur l’île. Les candidats doivent payer soit 1590 £ (2000 $ US) par personne, soit 2385 £ (3000 $ US) par famille, prouver un revenu d’au moins 39 760 £ (50 000 $ US) par an et avoir une assurance maladie. Il y a aussi un certain contrôle de la sécurité nationale. «Nous reconnaissons que plus de personnes travaillent à distance, parfois dans des conditions très stressantes, avec peu d’options pour les vacances. Notre nouveau [visa] vous permet de déménager et de travailler depuis l’une des destinations touristiques les plus appréciées au monde », a déclaré la Première ministre Mia Amor Mottley dans un communiqué.
Depuis le 1er août, l’Estonie propose un visa Digital Nomadqui permet aux travailleurs indépendants de leur localisation de vivre en Estonie et de travailler légalement pour leur employeur ou leur propre entreprise enregistrée à l’étranger. Le pays balte prévoit de délivrer environ 2000 visas de ce type par an aux candidats qui doivent prouver qu’ils peuvent suffisamment télétravailler pour gagner le seuil de revenu mensuel pour y vivre, actuellement fixé à 3 504 euros, et avoir une assurance maladie valide. Les frais de dossier uniquement sont de 100 euros. Tous les entrants sont soumis à une période d’isolement de 14 jours pour aider le pays à maintenir son faible taux d’infection par Covid-19.
À partir de septembre, la Géorgie délivrera de nouveaux visas de travailleur à distance pour que les personnes y vivent et y travaillent pendant une période pouvant aller jusqu’à un an. L’application en ligne devrait demander une preuve d’emploi et une assurance valide, et tous les candidats doivent se soumettre à une quarantaine de 14 jours à leur arrivée – le pays affiche toujours un taux d’infection au Covid-19 relativement faible.
De nouveaux Revenus étrangers pour le Vanuatu
Jusqu’à présent, le Vanuatu était très bas sur la liste des destinations des nomades numériques mondiaux (ce site Web classe Port Vila au 1 170e rang avec un score de 2,89 / 5 selon 199 avis). L’éloignement du pays en est une explication, tout comme sa connectivité Internet en retard (jusqu’à récemment) et son manque de visas adéquats.
Mais à l’ère du Covid-19, Vanuatu a une meilleure chance d’attirer la foule du télétravail. Notre pays est l’un des rares endroits sur Terre à avoir été épargné par la pandémie, une qualité attrayante pour les travailleurs à distance dans les pays en proie à une pandémie proches de nous comme l’Australie. Ceux qui viennent de plus loin, d’Europe ou d’Asie de l’Est, peuvent également être tentés car les autres options sûres sont rares, surtout s’ils recherchent un climat tropical alors que l’hiver empiète sur leur hémisphère.
En ce qui concerne Internet, la connectivité a été considérablement améliorée ces dernières années, mettant Vanuatu au même niveau que les autres destinations tropicales. Notre bande passante dans les zones peuplées est suffisamment élevée pour effectuer la plupart des emplois numériques nomades typiques.
La question des visas de longue durée reste un obstacle. À partir d’aujourd’hui, les seules personnes éligibles pour un visa de résidence sont:
Partenaires ou enfants de citoyens du Vanuatu,
Collaborateurs avec un contrat de travail local,
Investisseurs clés dans une entreprise locale qui emploie des citoyens,
Résidents autofinancés ou locataire foncier de Vanuatu, à qui il est interdit de travailler.
La montée en puissance des nomades numériques couplée à la pandémie nous donne une chance unique de développer cette nouvelle source de devises étrangères. En tant que pays dépendant des revenus étrangers, nous devons saisir cette opportunité avec le même niveau de dévouement que celui que nous consacrons depuis des décennies à attirer l’IED.
Amener l’économie du savoir sur nos côtes
L’accueil des télétravailleurs peut avoir un impact positif et immédiat sur la demande, car ces nouveaux arrivants consomment des biens et services locaux, contribuant ainsi à la santé des entreprises de Vanuatu. Beaucoup sont des salariés hautement qualifiés et instruits, à revenu élevé, qui font de grosses dépenses. Ils n’empêchent pas les locaux de trouver un emploi, mais ont tendance à importer leur travail avec eux, ainsi qu’une quantité substantielle de devises étrangères dont notre économie a grandement besoin.
En tant que membres de l’économie du savoir, les télétravailleurs apportent avec eux de nouveaux types d’expertise et d’innovation. Ingénieurs logiciels. Directeurs de la technologie. Scientifiques des données. Ces spécialistes et de nombreux autres font actuellement défaut à Vanuatu. De nouvelles personnes qualifiées dans ces domaines peuvent inspirer nos jeunes, en montrant à quel point ces carrières sont des options viables et réalistes pour l’avenir, et en aidant à renforcer les capacités et les compétences locales. Il n’y a pas de frontières avec la nouvelle économie. Imaginez, dans quelques années, nous pourrions voir la FDI financer la start-up locale d’un data architect Ni-Vanuatu ici.
Nous sommes actuellement dans la position unique et enviable de pouvoir offrir aux nomades numériques l’environnement magnifique, sûr et sans COVID qu’ils recherchent. Les atouts et les attributs qui ont fait de Vanuatu une destination touristique convoitée peuvent également nous aider à attirer certains des meilleurs et des plus brillants de l’économie du savoir.
Voici quelques moyens de le faire.
Trois idées pour entreprendre notre changement maintenant
Proposition 1: ouvrir le visa de résidence permanente aux travailleurs du numérique (freelance ou employés)
Caractéristiques:
Visa de résidence d’un an
renouvelable chaque année
même prix que le visa de séjour normal: 57600 Vatu par an
Principales exigences:
L’une des preuves suivantes de fonds suffisants:
un emploi permanent à l’étranger qui rapporte plus de 4 millions de Vatu par an;
revenu de plus de 4 millions de Vatu au cours de l’année écoulée en tant qu’indépendant ou salarié;
Des actifs liquides de plus de 4 millions de Vatu.
Preuve de couverture d’assurance maladie
Marché cible:
Employés distants d’entreprises établies à l’étranger
Les freelance qui travaillent généralement en ligne
Les personnes avec ce type de visa s’apparentent aux touristes de longue date. Si nous en attirons 1 000 pendant 52 semaines, ils auront le même impact sur l’économie que 52 000 touristes (1 000 x 52 semaines).
Afin de libérer encore plus de valeur positive de leur séjour, nous pourrions les encourager à s’inscrire en tant qu’employeurs auprès du VNPF et à embaucher une aide domestique locale ainsi que des travailleurs numériques pour les aider à vendre leurs services en ligne.
Proposition 2: créer un nouveau visa d’affaires à l’arrivée
Caractéristiques:
Visa d’un mois
Gratuit à l’arrivée
Marché cible:
Directeurs d’entreprises internationales
Les personnes qui passent peu du temps à Vanuatu pour faire des affaires (par exemple, des clients en visite, des participants à des conférences, etc.)
Ce type de visa «entreprise-touriste» encouragerait les gens à venir au Vanuatu pour faire des affaires à court terme. Par exemple, il pourrait être utilisé par les participants aux réunions annuelles du conseil d’administration organisées par des sociétés internationales.
Proposition 3: Créer une nouvelle catégorie de licence commerciale appelée «International Company Export»
Caractéristiques:
Strictement pour les exportations (produits ou services), pas de ventes / revenus locaux
Petits frais de licence nominaux, par exemple. 20 000 Vatu
Aucune approbation VIPA requise
Marché cible:
Entreprises internationales (IC) enregistrées auprès du VFSC qui souhaitent exporter des produits et services depuis Vanuatu
Nous devrions autoriser et encourager les entreprises internationales (IC) à opérer à partir de Vanuatu, avec des installations et des employés physiquement situés ici. Pour le moment, ils doivent obtenir l’approbation de VIPA pour le faire, et ils sont rejetés car ils ne rentrent dans aucune catégorie existante.
Les entreprises internationales qui s’installent à Vanuatu pour exploiter une entreprise d’exportation devraient être exemptées de l’approbation VIPA car elles n’investissent pas pour exploiter une entreprise à Vanuatu (c’est-à-dire vendre aux clients du Vanuatu), elles investissent strictement pour exporter à partir de Vanuatu.
Les titulaires de licences d’exportation de sociétés internationales seraient autorisés à embaucher des employés locaux, à s’inscrire au VNPF, à importer des travailleurs qualifiés et à suivre d’autres règles comme toute entreprise locale. Mais il leur serait interdit d’offrir leurs produits ou services au Vanuatu. De cette façon, ils ne concurrenceraient aucune entreprise locale opérant ici.
Non seulement ces entreprises créeraient des opportunités d’emploi pour les Ni-Vanuatus, mais elles seraient également en mesure d’embaucher des titulaires de visa numérique, ce qui aiderait à attirer encore plus sur nos côtes. Ils pourraient également tenir leurs réunions annuelles du conseil d’administration ici en obtenant un visa d’affaires pour leurs directeurs. Vous pouvez voir comment nos trois propositions pourraient fonctionner de concert pour renforcer la place de Vanuatu dans l’économie du savoir.
Attirer les meilleurs et les plus brillants
Une fois que nous nous mettrons d’accord sur les conditions pour attirer les télétravailleurs, le prochain défi sera de leur proposer le Vanuatu d’une manière convaincante. À l’heure actuelle, nous avons une occasion unique d’attirer certaines des personnes les plus qualifiées du monde et de stimuler une véritable création de richesse pour notre nation. Notre développement est lié à notre capacité à saisir cette opportunité.
L’agriculture et la fabrication sont bonnes, mais elles ne sont qu’une partie d’une économie saine et moderne. Ils créent des emplois mal rémunérés et doivent être hautement automatisés et mécanisés pour devenir efficaces et lucratifs.
L’économie du savoir est l’avenir, et c’est vers où nous devrions nous diriger.
Des pays du monde entier – des pays riches – se font concurrence pour attirer les plus performants, les meilleurs chercheurs, les cerveaux les plus intelligents. Ils les attirent avec des bourses; avec des équipes de recherche et des laboratoires entièrement financés; avec des bonus de signature; avec permis de séjour et de travail accéléré.
Verrouiller notre marché du travail au monde détruit beaucoup de valeur potentielle pour le Vanuatu et complique tout simplement les investissements du secteur privé et la croissance dont le pays a désespérément besoin.
Ces changements proposés ne concernent pas seulement l’ouverture à davantage de revenus et d’investissements étrangers; il s’agit de propulser le Vanuatu vers l’avenir en transformant une grande crise en une grande opportunité.
CT (Custom Taxes) Number devient TIN (Tax Identification Number)
Le 1er janvier 2020, une nouvelle loi sur l’administration fiscale (TAA) est entrée en vigueur.
Suite à cette nouvelle loi, le numéro CT (Custom Taxes) devient le TIN (Tax Identification Number).
Cette année 2020-2021 est considérée par l’Inland Revenue Office comme une année de transition.
Les contribuables sont tenus de modifier leurs reçus ou factures fiscales pour indiquer le TIN sur le document où il doit apparaître pour remplacer CT. L’administration fiscale donne jusqu’à la fin de l’année pour se conformer à ce changement.
À partir du 1er janvier 2021, si un contribuable n’inclut pas le mot TIN sur ses reçus ou factures, il pourrait être sanctionné par l’Inland Revenue Office.
La loi sur l’administration fiscale (TAA) est entrée en vigueur le 1er janvier 2020. Cette loi introduit une série de nouvelles mesures, dont trois changements majeurs peuvent être identifiés:
Pénalités et intérêts sur les retards de paiement ET les retours en retard.
Une obligation pour les entreprises d’utiliser le Tax Identification Numbers (TIN).
Exigences de tenue de registres pour les entreprises.
Pour plus d’informations sur le TAA, vous pouvez consulter l’article suivant du Daily Post: Gov’t To Consult On New Tax Law.
Le programme de soutien au développement (DSP) a été lancé par le gouvernement du Vanuatu et a commencé en janvier 2017.
L’objectif de ce programme est de collecter des fonds pour soutenir les infrastructures et promouvoir le développement économique au Vanuatu.
Qui peut demander la citoyenneté de Vanuatu:
Toute personne ayant un casier judiciaire vierge.
Homme d’affaires ou investisseur
Voyageur perpétuel et offshore
Personne renonçant à sa citoyenneté *
* D’autre part, Le Vanuatu reconnaît la double et multiple nationalité. Vous n’aurez donc pas à renoncer à votre nationalité actuelle si vous ne le souhaitez pas.
Documents requis pour demander la citoyenneté Ni Vanuatu:
Des documents supplémentaires peuvent être requis ou demandés.
Documents requis du candidat principal
Formulaire de mise en candidature signé
Certificat de naissance / ou option approuvée
Certificat médical
1 photographie couleur (40 mm x 50 mm) – fichier JPEG
Rapport sur les actifs confirmant les actifs> 250 000 USD au nom du candidat
Référence bancaire / lettre de bonne réputation
Lettre d’emploi
Certificat de mariage (pour les demandes de couple ou de famille uniquement)
3 arbitres professionnels pour confirmer le bon caractère du Candidat
Diplôme / (Diplôme si disponible)
Preuve d’adresse résidentielle actuelle datée de moins de 3 mois (facture d’électricité, relevé bancaire, etc.)
Preuve des atouts du demandeur principal (le cas échéant)
Certification d’emploi
Référence bancaire
Référence professionnelle
Certification académique
Autres
Documents requis pour le ou la conjoint(e)
Formulaire de mise en candidature signé
Certificat de naissance / ou option approuvée
Certificat médical
1 photographie couleur (40 mm x 50 mm) – fichier JPEG
Preuve d’adresse résidentielle actuelle datée de moins de 3 mois (facture d’électricité, relevé bancaire, etc.)
Documents requis pour les enfants à charge de moins de 18 ans
Formulaire de mise en candidature signé
1 photographie couleur (40 mm x 50 mm) – fichier JPEG
Certificat de naissance
Certificat médical
Documents requis pour les résidents à charge de plus de 18 ans
Formulaire de mise en candidature signé
1 photographie couleur (40 mm x 50 mm) – fichier JPEG
Nous sommes un cabinet de conseil et de comptabilité établi au Vanuatu depuis 2003. AJC offre une large gamme de services aux entreprises tels que des services d’audit et de comptabilité, l’incorporation de sociétés locales et offshore, le secrétariat d’entreprise et le soutien aux investisseurs cherchant à obtenir différents types de licences délivrées par Administration de Vanuatu. Nous aidons également les personnes à demander la citoyenneté de Vanuatu dans le cadre du programme de soutien au développement (DSP). Trouvez ci-dessous le coût et les calculs de la citoyenneté de Vanuatu:
AJC Vanuatu : Partenaire de Confiance
La procédure de demande de citoyenneté dans le cadre du DSP nécessite un agent désigné qui reçoit et transmet votre argent et votre demande à la commission de la citoyenneté. En d’autres termes, pour réussir à obtenir votre citoyenneté Ni-Vanuatu, vous comptez entièrement sur un agent inconnu pour gérer votre demande et le transfert de fonds.
Chez AJC, notre personnel multilingue expérimenté peut traiter votre demande plus rapidement que tout autre fournisseur de services. De plus, nous veillons à ce que vous soyez aidé et informé en cours de route.
AJC s’est associé à un agent local désigné pour offrir un service meilleur, plus fiable et plus professionnel que tout autre fournisseur de services de citoyenneté de Vanuatu.
Afin de vous garantir une protection maximale, nous gérons le transfert d’argent avec notre société de fiducie basée localement qui reçoit l’argent et le transfère directement au gouvernement. Nous sommes la seule entité qui peut garantir la surveillance de votre transfert d’argent directement au gouvernement de Vanuatu.
En tant qu’entreprise locale bien établie et reconnue depuis 2003. Nous sommes un partenaire de confiance sur lequel vous pouvez compter.
AJC Vanuatu est un fier partenaire de la Fondation Ratua depuis plusieurs années maintenant.
Nous sommes très attachés au développement de notre communauté.
Nous souhaitons encourager et promouvoir les initiatives et activités menées dans le pays dans différents domaines: humanitaire, culture, sport, éducation, santé,…
A Propos de la Fondation Ratua
La Fondation Ratua a son siège social sur l’île de Ratua, située au sud de l’île de Santo. Ratua est une toute petite île privée située entre l’île d’Aore et l’île de Malo.
La fondation a été créée en décembre 2009 dans le but d’améliorer les conditions d’éducation des enfants de Vanuatu.
Actuellement, l’association est impliquée dans divers projets et sur des thèmes plus larges, tels que: les écoles, les livres, les infrastructures, les réseaux d’eau et d’électricité, etc, …
AJC est un cabinet de conseil et de comptabilité établi au Vanuatu depuis 2003. Nous offrons une large gamme de services d’entreprise tels que des services d’audit et de comptabilité. Mais aussi, incorporation de sociétés locales et offshore, secrétariat d’entreprise et soutien aux investisseurs cherchant à obtenir différents types de licences délivrées par l’administration du Vanuatu. De surcroît, nous aidons les personnes à demander la citoyenneté de Vanuatu dans le cadre du programme de soutien au développement (DSP).
AJC dispose d’une équipe d’avocats et de comptables entièrement bilingues anglais / français. Ils sont en mesure de vous assister dans toutes les étapes de votre demande de citoyenneté au Vanuatu. Nous combinons de manière unique des professionnels du côté juridique avec des professionnels du côté comptable et financier. Afin de fournir à nos clients des conseils pertinents et des services professionnels utiles.
Pour plus d’informations sur les associations caritative
Les associations caritatives au Vanuatu sont créées pour le bien de la communauté. De telles associations doivent être créées à des «fins caritatives». Ceux-ci comprennent les objectifs suivants:
Religieuses
Education
Culture
Scientifique
Sportive
Aide sociale générale ou
Un autre but à but non lucratif déclaré par le ministre.
Afin d’obtenir le statut de personne morale et ainsi obtenir tous les droits et privilèges attachés au statut de personne morale. Une association doit avoir son comité incorporé par la Commission des services financiers du Vanuatu (VFSC).
L’incorporation de comités offre aux organismes de bienfaisance plusieurs des mêmes avantages dont bénéficient les entreprises. En particulier, lorsqu’un comité est incorporé.
Le comité peut:
Détenir des actifs (ex. Équipement ou terrain).
Détenir et engager des responsabilités.
Passer des contrats (sous réserve de certaines restrictions).
Processus d’incorporation d’une association caritative au Vanuatu
L’incorporation d’une association caritative au VFSC est un processus assez simple et direct. De plus, cela peut même être fait en ligne sur le site Web du VFSC. Pour ce faire, le formulaire prescrit doit être utilisé et vous devez fournir les informations suivantes:
Le nom du comité.
Les noms, adresses et professions des membres du comité.
Le siège social du comité.
Les objets de l’association.
Copie certifiée conforme des statuts, des règles, de la constitution de l’association et d’un état de l’actif et du passif.
IMPORTANT
Une association caritative est considérée comme une entité déclarante par l’Unité de renseignement financier de Vanuatu. En tant que tel, il doit se conformer à toutes les exigences de la loi de 2018 sur la lutte contre le blanchiment d’argent et le financement du terrorisme.
En particulier, tous les membres de l’Association seront tenus de soumettre à la VFIU un ensemble de pièces d’identité clés notariées.
Pour plus d’informations, contactez-nous ou directement le VFIU.
Obligations légales pour les associations caritatives
Gouvernance
La seule exigence relative à la gouvernance pour qu’une association soit constituée est d’avoir un minimum de six membres.
Bureau d’inscription
Un comité constitué a un siège social où toute procédure judiciaire peut être signifiée.
Obligations de déclaration
Rapport annuel
Un comité doit fournir au registraire un rapport selon la formule prescrite sur les activités du comité. Le rapport doit être fourni dans les 3 mois suivant l’anniversaire de la création du comité.
Une taxe annuelle de dépôt du rapport doit être payée lors de la soumission du rapport annuel.
Le rapport annuel décrit les activités et autres détails de l’association caritative au cours des 12 derniers mois. Il comprend également des détails sur la question de savoir si elle a des opérations uniquement au Vanuatu, ou au Vanuatu et dans d’autres pays. En outre, si elle a entrepris des activités dans tout ou partie des secteurs suivants:
Religieux
Educative.
Culturel.
Scientifique
Sportif
Aide sociale générale et développement communautaire.
Parti politique.
Détails financiers, y compris les revenus et les dépenses.
À la demande du Greffier, des documents supplémentaires peuvent être demandés justifiant les détails ci-dessus.
Rapports en cas de changements
Un comité doit aviser par écrit le registrateur d’un changement de l’un ou de tous les éléments suivants dans les 30 jours suivant le changement:
Le siège social du comité;
les statuts, les règles ou la constitution de l’association;
Une personne clé;
Les circonstances d’une personne clé qui peuvent avoir une incidence sur le fait qu’elle remplit les critères d’aptitude et de convenance;
Les règles ou politiques relatives à la source des fonds du comité.
Reporting spécifique: en cas de transfert de terres
Un comité constitué en vertu des présentes doit déposer auprès du ministre au moins 15 jours avant le transfert les détails de tout transfert de tout intérêt foncier qu’il entend faire.
Sanctions
La loi prévoit un certain nombre de sanctions en cas de non-respect des dispositions et exigences mentionnées ci-dessus.
Ces sanctions peuvent aller de la radiation de l’Association du registre à des amendes financières.
Frais et Amendes
Vous souhaitez créer votre association caritative au Vanuatu?
En tant que partenaire local de confiance et grâce à nos années d’expérience,
nous avons compilé pour vous une liste de FAQ sur la citoyenneté de Vanuatu.
Puis-je conserver ma citoyenneté actuelle et devenir citoyen Ni-Vanuatu?
Oui, Vanuatu accepte la double nationalité.
Quelles sont les conditions pour devenir citoyen Ni-Vanuatu?
Les principales exigences sont les suivantes. Premièrement, le demandeur principal doit faire la démonstration d’actifs à son nom de plus de 250 000 dollars EU. Deuxièmement, vous devez avoir au moins 18 ans et au plus 65 ans. Troisièmement, vous devez payer la contribution de 130 000 USD pour un seul candidat. De plus, vous ne devez avoir aucun casier judiciaire.
D’autres exigences peuvent s’appliquer.
Puis-je remplir le formulaire moi-même?
Non, seuls les agents désignés peuvent soumettre une demande en votre nom.
Puis-je remplir la demande en ligne?
Non. Vous devrez envoyer physiquement des copies certifiées conformes originales de vos documents. Cependant, la plupart du processus peut être effectué en ligne.
Combien de temps dure le processus de candidature?
Le processus de demande peut prendre de 4 à 8 semaines. Nous vous tiendrons informés lorsque votre candidature atteindra des jalons spécifiques.
Dois-je soumettre ma candidature en anglais?
Oui, la seule langue acceptée par la Commission de la citoyenneté est l’anglais. Par conséquent, si vos documents requis ne sont pas en anglais, vous devez fournir des traductions certifiées conformes (copies traduites notariées ou certifiées par une autorité reconnue).
Combien de membres de ma famille peuvent être inclus dans ma candidature?
Tous, tant qu’ils sont à charge. Votre application familiale contient 4 personnes. Par conséquent, tout membre dépendant supplémentaire exigera des frais supplémentaires comme décrit dans la section des coûts de ce document.
Dois-je me rendre au Vanuatu pour demander la citoyenneté?
Non. Vous pouvez postuler simplement en nous contactant.
Cependant, la dernière étape du processus, la cérémonie, nécessite la présence physique d’un commissaire aux serments approuvé par la Commission de la citoyenneté et d’un agent des passeports du Vanuatu. Ainsi, vous pouvez soit prendre l’avion pour le Vanuatu à vos propres frais, soit prendre en charge les frais de déplacement des agents vers le pays de votre choix, partout dans le monde. Ces frais supplémentaires comprennent les billets d’avion, l’hébergement et les frais d’agent ».
Qu’est-ce qu’un certificat de police?
Un certificat de police est un document attestant que vous n’avez pas de casier judiciaire. Il peut être nommé «certificat d’absence de casier judiciaire» ou «rapport de police» ou d’autres noms selon l’endroit où vous vivez.
La citoyenneté de Vanuatu expire-t-elle?
Non. Vous et votre famille aurez la citoyenneté à vie et elle sera transmise à vos enfants et à leurs enfants. Cependant, vous devrez renouveler votre passeport tous les 10 ans.
Combien coûtera le renouvellement de mon passeport dans 10 ans?
Chaque renouvellement de passeport individuel coûte environ 250 USD (25 000 vatu).
Puis-je changer mon nom?
Oui. Une fois que vous avez obtenu la citoyenneté, vous pouvez changer votre nom en nous envoyant une lettre expliquant votre motivation à changer de nom et votre passeport sera émis avec votre nouveau nom. Cette demande prendra du temps et des frais supplémentaires avant la délivrance de votre passeport.
Y a-t-il des pays exclus du programme?
Oui, tout citoyen des pays suivants est exclu du programme:
Iran
Iraq
Corée du Nord
Syrie
Yemen
Cette liste de pays est sujette à changement.
Exemptions: La commission peut accepter les candidatures de pays restreints si le demandeur démontre qu’il ou elle n’a pas résidé dans le pays restreint au cours des 5 dernières années; et fournit une preuve de résidence permanente à l’étranger.
Le programme d’aide au développement (DSP) pour devenir citoyen de Vanuatu
À partir de janvier 2017, le gouvernement de la République de Vanuatu a lancé le Programme d’appui au développement (DSP). L’objectif est de collecter des fonds pour soutenir les infrastructures et promouvoir le développement économique à Vanuatu.
Le DSP est une nouvelle disposition promulguée par le gouvernement de Vanuatu en vertu de la loi sur la citoyenneté avec les pouvoirs conférés au Premier ministre. Les candidats peuvent demander la citoyenneté de Vanuatu en contribuant au gouvernement de Vanuatu à hauteur de 130 000 USD pour un seul candidat. Le coût peut aller jusqu’à 180 000 $ par demande pour une famille d’au plus quatre (4) membres.
La citoyenneté acquise dans le cadre du programme DSP est pleinement reconnue par le gouvernement de Vanuatu et la nationalité est considérée comme Ni-Vanuatu (citoyen de Vanuatu).
Ceux qui demandent et reçoivent la citoyenneté de Vanuatu dans le cadre du DSP ont le droit de résider au Vanuatu à tout moment et le passeport est renouvelable à l’expiration. De plus, la citoyenneté est héréditaire.
Le demandeur ne doit avoir aucun casier judiciaire. De plus, il doit être de haut niveau dans sa communauté, son organisation, sa société ou son pays.
A Propos du Vanuatu
Vanuatu est une nation de l’océan Pacifique Sud composée d’un archipel de 83 îles. Les îles s’étendent sur 1 300 kilomètres en forme de Y.
De multiples vagues de colonisations, chacun parlant une langue distincte, ont migré vers les îles mélanésiennes au cours des millénaires précédant l’exploration européenne.
Ces modèles de peuplement expliquent la diversité linguistique complexe que l’on trouve encore aujourd’hui sur l’archipel. Les Britanniques et les Français se sont installés sur les îles au 19ème siècle et ont appelé le pays nouvellement formé «Nouvelles Hébrides».
En 1906, ils acceptèrent un condominium anglo-français, qui administra les îles jusqu’à l’indépendance en 1980. À cette date, le nouveau nom de Vanuatu fut adopté.
Population
285 784 (estimation d’avril 2016). Taux de croissance démographique 1,95%.
Économie
Basé principalement sur une agriculture à petite échelle, qui fait vivre environ les deux tiers de la population. La pêche, les services financiers offshore et le tourisme, avec environ 111 000 visiteurs en 2015, sont d’autres piliers de l’économie.
L’Australie et la Nouvelle-Zélande sont la principale source de touristes et d’aide.
Un petit secteur de l’industrie légère s’adresse au marché local. Les recettes fiscales proviennent principalement des droits d’importation et de la TVA.
Depuis 2002, le gouvernement a intensifié ses efforts pour stimuler le tourisme en améliorant les liaisons aériennes, le développement des stations balnéaires et les installations des navires de croisière.
L’agriculture, en particulier l’élevage, est le deuxième objectif de croissance.
Les îles offrent de la plongée sous-marine dans les récifs coralliens, les cavernes sous-marines et les épaves telles que le navire de guerre SS President Coolidge de la Seconde Guerre mondiale. Des sentiers de randonnée montent sur des volcans actifs tels que le mont. Yasur.
Les autres activités populaires incluent les écotours dans la forêt tropicale, le kayak et la pêche en haute mer, ainsi que la détente dans les stations balnéaires et les spas.
Voyager au Vanuatu
Vous pouvez prendre l’avion pour l’aéroport international Bauerfield de Port Vila (VLI) directement depuis l’Australie, la Nouvelle-Zélande, les Fidji et Salomon.
De nouveaux vols directs vers la Chine arrivent bientôt.
Vous vous demandez peut-être quels sont les avantages d’obtenir la citoyenneté Ni-Vanuatu?
Nous vous donnons 3 raisons principales pour vous convaincre.
VOYAGE
Le passeport Ni-Vanuatu donne accès à 113 pays sans avoir besoin de visa ou avec l’obtention d’un visa à l’arrivée. Ces pays comprennent le Royaume-Uni, l’Union européenne et Singapour. Le Vanuatu a également un accord d’exemption de visa mutuel avec l’espace Schengen et la Russie.
Vous pouvez rester jusqu’à 90 jours par période de 180 dans un pays Schengen et 6 mois par an au Royaume-Uni.
Les passeports sont valables pour une période de 10 ans renouvelable pour la même période.
Le Vanuatu n’a aucun impôt sur les sociétés, il n’a pas non plus d’impôt sur le revenu, pas d’impôt sur les plus-values, pas d’impôt sur les successions, pas d’impôt sur la fortune, pas de retenue à la source, pas d’impôt sur les donations et pas d’autres impôts sur le revenu des particuliers. Mis à part une TVA de 15% appliquée localement, il n’y a presque pas de taxes du tout.
En conclusion, Vanuatu est propice aux affaires.
BONUS
Le Vanuatu est membre du Commonwealth et ses citoyens sont donc considérés comme des citoyens du Commonwealth. Cette reconnaissance confère ainsi au citoyen du Vanuatu des droits supplémentaires au Royaume-Uni et dans certains pays du Commonwealth.
Vous pouvez ajouter la majeure partie de votre famille à votre demande (enfants de moins de 25 ans, parents de 50 ans et plus).
Si vous souhaitez vous installer au Vanuatu et que vous disposez d’un revenu suffisant pour subvenir à vos besoins et à ceux de vos personnes à charge, vous pouvez demander un visa autofinancé.
Nous vous présentons les 3 étapes principales pour demander un permis de séjour au Vanuatu en tant qu’autofinancé. Les étapes suivantes doivent être effectuées:
Première étape: ouverture d’un compte bancaire à la Banque nationale du Vanuatu
*vous devez être présent au Vanuatu pour ouvrir un compte à la National Bank of Vanuatu
Pour démarrer le processus avec nous, veuillez remplir le formulaire ci-dessous:
Vous aurez besoin des documents suivants:
Copie notariée du passeport valide
Copies de toutes les pages de passeport utilisées
2ème pièce d’identité certifié , il s’agit d’une preuve de votre adresse (permis de conduire ou soit factures (facture d’électricité / facture d’eau / téléphone) soit soit relevé bancaire)
2 photos d’identité
Certificat de mariage si marié
Original du casier judiciaire récent
Encore une fois, ce processus devrait prendre environ 3 semaines.
Prêt à démarrer votre processus de candidature avec AJC Vanuatu?
Le processus d’obtention de la citoyenneté Ni-Vanuatu est relativement simple et direct. Une fois que tous les documents exigés sont en notre possession, il faut environ 4 à 8 semaines pour terminer le processus complet.
Veuillez noter que les frais VFIU de 5 500 $ US et 25% des frais prescrits ne sont pas remboursables, si la Commission de la citoyenneté rejette la demande. Vous êtes tenu de présenter une preuve de la source des fonds pour une diligence raisonnable.
Le processus de demande de citoyenneté DSP nécessite un agent désigné. Il est responsable de la réception et de la transmission de votre argent et de votre demande.
Afin d’obtenir avec succès votre citoyenneté Ni-Vanuatu, vous vous reposez donc entièrement sur un agent inconnu pour gérer votre demande et le transfert des fonds. Chez AJC, notre personnel multilingue expérimenté peut traiter votre demande plus rapidement que tout autre fournisseur de services. De plus, nous veillons à ce que vous soyez aidé et informé tout au long du processus.
AJC Vanuatu s’est associé à un agent local désigné pour offrir un service meilleur, plus fiable et plus professionnel que tout autre fournisseur de services de citoyenneté au Vanuatu.
Afin de vous garantir une protection maximale, nous gérons le transfert d’argent avec notre société de fiducie basée localement. Elle reçoit l’argent et le transfère directement au gouvernement. Nous sommes la seule entité qui peut garantir la surveillance de votre transfert d’argent directement au gouvernement de Vanuatu.
En tant qu’entreprise locale bien établie et reconnue depuis 2003. Nous sommes un partenaire de confiance sur lequel vous pouvez compter.
Pour plus d’informations sur le processus et une liste de nos documents requis, vous pouvez télécharger notre brochure sur le programme de soutien au développement (DSP).